Une impressionnante exposition est en cours au Musée du Louvre de Paris. Un retentissement international, à guichet presque fermé, une marée humaine…
En voici juste quelques « éclats » très focalisés !
Le Christ et Saint Thomas d’Andrea del Verrocchio dont Léonard fut l’élève.
Il y perçu l’« Idée que l’espace et la forme sont engendrés par la lumière ». « Expression du drame par le clair-obscur – le jeu de l’ombre et de la lumière. »
Maitrise et liberté, nombreuses « études de composition » précédent l’œuvre « finale »
Draperies et drapés font partie de la quintessence de l’art de LdeV. Notamment celle dite « Saint Mory ».
Des reliefs « recouverts de draps imprégnés d’argile » pour appréhender la « matière spatiale » servaient de modèle.
L’exposition présente une reconstitution expérimentale du relief par Leticia Lerratti (2019)
Maitrise et liberté, nombreuses « études de composition » précédent l’œuvre « finale »
Études et portraits : plume, encre, sanguine, pointe d’argent et, beaucoup plus rarement peinture…
Saint Jean Baptiste (la dernière œuvre du maître en 1519) est « l’expression d’une beauté idéale qui garde encore quelque chose de la pureté de l’adolescence dans la force de l’âge adulte »
La réflectographie infrarouge montre le dessin, tracé au carbone, sous la peinture
Le Saviez-vous ?
« Léonard ne peignit qu’une qunizaine de tableaux, non pas, comme on le dit souvent, parce qu’il ne se serait intéressé qu’à la conception, ou à l’idée mais, au contraire, parce que l’exécution, prolongée à l’infini, portait chez lui toute la vérité de la science de la peinture. »
Livret complet des textes de l’exposition téléchargeable sur le site Louvre.fr.